Laissons-nous tenter
Un
film qui a bientôt 10 ans. Mais pas l'impression qu'il est déjà si
vieux. Un des premiers films d'Olivier Martinez, il y est tout à fait
charmant/charmeur.
En 1832, dans la Provence ravagée par le
choléra, un hussard fuyant les autrichiens, Angelo, rencontre Pauline.
La fuite est leur seule issue.
J'aime bien les histoires de couple fuyants/fuyards, qui se rencontrent, s'allient et s'aiment.
Et celui là, Binoche/Martinez fonctionne à merveille. La fin tarde peut-être un peu trop à arriver.
Tina
et Carole ont des vies plutôt opposées : une juge d'instruction,
l'autre mise en liberté par erreur obsédée par les chaussures et qui ne
sait pas nager.
Rien ne les rassemble mais toutes les deux vont voir dans l'autre la soeur qu'elles n'ont pas eues.
Finalement
elles resteront ensemble et c'est tant mieux. Une comédie qui se laisse
très bien regarder et qui ne laisse pas le goût amer des comédies qui
se finissent trop bien. Trop bien pour être réelle.
Charly
voulait une nouvelle bicyclette. Il aura un avion. Qui restera en haut
de l'armoire jusqu'au jour où son père décède. C'est comme ça que
l'avion et Charly devienne inséparables.
Un film sur le deuil et l'enfance. Les acteurs y sont tous justes et francs.
Le générique. Musique. L'écran (re)devient noir. Un petit sourire au milieu de quelques larmes.
Un
film qui porte bien son nom. Plus il défile et plus on sent la fin
approcher. On voudrait qu'il y est un miracle et que rien ne se passe
dans la continuité des choses. Mais finalement...
Isabelle Adjani y est somptueuse. Je crois que si j'avais aimé les femmes, j'aurais été amoureuse d'elle.
J'aime ce genre de film, les personnages torturés et les fins inévitables.
Sans
doute un des films les plus barrés que j'ai jamais vu ! Un truc
monstrueux, impressionnant !
Explosée de rire du début à la fin. Si on
aime pas l'humour noir au second degré, on aimera pas ce film.
Une
succesion d'incidents invraisemblables et tellement improbables qui
rendent le film surréaliste et génial.
Les couleurs, les acteurs, la
réalisation, tout le monde y est fou.