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Revoir un Printemps
26 juillet 2006

Un livre parmi tant d'autres...

J’erre de rayons en rayons, regardant les titres et touchant les couvertures, je m’arrête parfois pour lire le résumé sur la 4ème de couverture. « Octobre Noir » m’a l’air d’être le roman le plus improbable – outre les prévisions de Nostradamus – de cet étalage de fiction/réalité. Al-Quaïda devrait faire exploser une bombe nucléaire sur Paris en Octobre 2006… Les auteurs s’amusent à nous faire peur.
Entre les témoignages des hommes politiques qui dirigent admirablement notre beau pays, de Hollande à Copé en passant par Sarko, se partagent les rayons, les livres de blondasses peroxydées qui se baladent dans New York, Los Angeles ou Londres (au choix) avec un compte en banque à la Paris Hilton, au moins un mec sinon des, un appart’ de 500m² habitable avec vue sur Central Park, et de très nombreux problèmes (que vais-je mettre ce soir pour plaire à John ? Lidy me pardonnera-t-elle ? etc, etc.) et surtout sans le cynisme des Desperate Housewives mais juste la connerie ambiante. On retrouve également en grande quantité des romans noirs du plus ridicule au plus tragique, du plus platonique au plus trash. Mais en matière de gore, je commence à avoir une certaine connaissance et lire le mot meurtre au dos de chacun de mes livres commence un peu à m’effrayer.
Dans ce méli-mélo de genre (réduits à 3), je cherche le livre qui en lisant les premiers mots du résumé, me donnera envie de lire la suite. Evidemment étant par nature chiante et exigeante, je voulais un truc original, dépaysant, à suspense et intelligent (enfin pas trop non plus !).

Je finis les dernières pages du nouveau Marc Lévy et je me plonge dans Les cerfs-volants de Kaboul dont la couverture sépia me rappelle mon enfance.
Une histoire d’amitié dans l’Afghanistan, deux garçons, deux hommes…

 

cerfs_volants220

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