Et dans les yeux, un reflet de vagues
Si seulement il faisait juste un peu moins froid, je pourrais rester immobile au bord de la mer et finir les derniers chapitres du Prince de Sang-Mêlé. Mais le vent glacial et les faibles rayons du soleil me poussent à rester dedans.
Si seulement.
Mais dedans, je commence un peu à sérieusement me faire chier. Les activités ne sont pas très variées. Enfin au moins, j’en profite je lis et je regarde des films.
Ça commence à ne plus suffire. Les offres d’emploi sont toujours aussi maigres et je commence à perdre un peu de courage.
J’ai parcouru les fiches de mes 27 métiers sélectionnés. L’excitation est retombée devant les compétences à avoir. On peut dire, ça y est je flippe. La lecture des intitulés des métiers au lieu de rendre ça plus lisible, m’a montré combien toutes ces fiches étaient abstraites. Tout est devenu franchement flou.
Déjà que c’était pas très clair !
Enfin comme je m’ennuie, j’écris des trucs. Et là j’ai écrit une critique du film de Soderbergh, Che l’Argentin.