
Le week-end n'a pas été facile. D'abord, vendredi, nous avons enterré un collègue de mon chéri, mort dans l'incendie de son appartement il y a deux semaines. Et puis il y a eu Paris et ces ignobles et lâches attaques, l'effarement, la douleur, l'incompréhension. Et samedi, comme si la douleur l'était pas suffisante, nous avons appris le décès d'un très cher ami de la famille (ce n'est pas une victime des attentats). La coupe était pleine et j'ai passé le week-end, un peu dans le coltar, sans avoir vraiment envie de rien. Aujourd'hui,...
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