23 décembre 2011
L'obscurité suspend tout. Il n'y a rien qui puisse, dans l'obscurité, devenir vrai.*
Le jour s'en va, la tête sur l'oreiller, étendue. Détendue. J'arpente les galeries du sommeil, de l'oubli. Je crois que Morphée va m'accueillir. Les yeux clos, je suis calme. Le contexte est idéal. Puis, je me mets à penser, à réfléchir, à élaborer, à...