RAT a Week & LC
Petit point sur le marathon lecture de l'été et la lecture commune commencée avec Audrey...
RAT a week - Semaine 1
04/07 au 07/07 - Kaïken de Jean-Christophe Grangé (terminé) - 472 pages - défi Lire un livre dont la couverture comporte du vert
07/07 - L'étrange rendez-vous de Jean Van Hamme (terminé) - 66 pages
07/07 - Les chaussures italiennes de Henning Mankell - 215 pages
08/07 - Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell - 57 pages
RAT a week - Semaine 2
11/07 - Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell - p. 57 à 465
11/07 - Les chaussures italiennes de Henning Mankell - p. 215 à 289
Total Semaine 1 - 810 pages/Total Semaine 2 - 482 pages - Pour cette première semane, j'ai donc réussi à atteindrel'objectif des 800 pages mais par contre, pour la seconde semaine, je suis largement en-dessous... l'été mais surtout l'attentat de Nice m'ont empêché de vraiment avancer...
Mon ressenti
J'en suis actuellement à la page 465 d'Autant en emporte le vent, et c'est une chance car durant les cent premières pages, j'avoue avoir eu un peu peur... j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, principalement à cause de deux choses : l'attitude générale de Scarlett (j'en parlerais longuement dans mon article) et le rapport aux esclaves. C'est par moment assez raciste - forcément vu l'époque et le contexte mais c'est un peu dérangeant à lire - et le parler des esclaves est, parfois, difficile à déchiffrer.
Je suis contente d'avoir réussi à bien entrer dans l'histoire et d'avoir envie de continuer la lecture, de vouloir savoir ce qui va se passer, même si je trouve que certains passages sont un peu longs, notamment toute la partie de la fin de grossesse de Melanie.
Le ressenti d'Audrey
Cette première semaine de lecture m'a permis de lire le premier tome, soit environ 477 pages. A part les cent premières pages (l'histoire met du temps à se mettre vraiment en place), que j'ai eu du mal à passer, je suis assez contente de replonger dans cette si célèbre histoire et même, de la redécouvrir !
J'avais lu Autant en emporte le vent, une fois, et il y a une bonne douzaine d'années et j'avais oublié des pans de l'intrigue et notamment le fait que Scarlett a un enfant avec Charles. Ça m'a fait un petit choc ! J'avais également zappé la condescendance très méprisante des propriétaires terriens vis à vis de leurs esclaves qu'ils considèrent comme des êtres à l'intelligence très limitée. Heureusement, les familles que nous suivons ne sont pas du genre à user du fouet. De toute manière, le livre de Margaret n'a jamais été là pour parler de la cause des esclaves, le récit étant plutôt axé sur « la fin du Sud et des grandes familles ». Mais ça fait bizarre quand même.