48 Heures
C’est enfin le week-end, la chose que les travailleurs attendent certainement le plus. Et moi en tant que stagiaire exploitée et prise pour une conne, j’attends également ces deux jours avec impatience, jubilation et espoir !
Ces deux jours sont atrocement courts, tellement courts que ça en est presque un supplice.
Enfin, il est évident que je ferais mon possible pour en profiter mais je sens déjà le temps me filer entre les doigts…
Je ne sais pas si mon stage se passe bien. Je suis à la fois déconcertée, fatiguée, j’ai pas toujours envie d’y aller, bien souvent envie de partir plutôt, envie de les envoyer chier, je crois que c’est plus négatif que positif. Il faudrait que j’explique pourquoi. Mais je crois que j’ai peur de l’écrire, ça ferait prendre une tournure encore beaucoup plus réelle aux choses et je n’ai vraiment pas besoin de ça maintenant.
Quoiqu’il en soit mercredi, j’ai craqué et passé 2 heures à pleurer. Ça faisait longtemps que ça m’était pas arrivée.
Je passe le plus clair de mon temps à le perdre justement, à lui courir après. Je perds mon inspiration et mes habitudes de blogger, mes habitudes de lecture.
Je crois que j’ai besoin d’une pause, de faire le point, d’avoir le temps pour le faire.
Je crois que je vis pas très bien les choses.
Finalement y a beaucoup d’incertitudes dans tout ça.