Publicité
Revoir un Printemps
30 juin 2018

Nous rêvions juste de liberté d'Henri Loevenbruck

J'ai lu Nous rêvions juste de liberté il y a plusieurs mois déjà et je m'en souviens comme si c'était hier, et rien qu'en n'y repensant, j'ai les larmes qui montent et des frissons qui arrivent... Je me demande comment j'ai pu ne pas vous en parler plus tôt.

Nous rêvions juste de liberté

Hugo ne s'en sort pas au lycée, il n'est pas fait pour ça, ses parents dans l'espoir de le remettre dans le droit chemin l'inscrivent au lycée de Providence. Il y rencontre Freddy et sa bande, et sa vie ne sera plus jamais la même. A la maison, ça ne se passe pas très bien pour Hugo non plus, depuis que Vera n'est plus là, maman a tendance à se laisser aller et papa a la main lourde.
Alors un jour, Hugo, devenu Bohem, prend la route avec Freddy, Oscar, Alex, à l'aventure, montés sur leur bécane, ils traversent le pays, flirtant plus d'une fois avec la légalité. Mais Bohem, Freddy et les autres vivent, vivent à 100 %.

Nous rêvions juste de liberté est un roman que j'ai fermé en pleurant à chaudes larmes, un roman qui vraiment m'a foutu une putain de claque, et comme en plus je ne m'y attendais pas, je peux vous dire que je l'ai bien sentie passer !!
Au départ, je ne pensais pas que j'allais me retrouver dans cet état, pour être tout à fait honnête, j'ai même failli laisser tomber car les histoires de bikers, de Harleys et de clans de motards, je n'aime pas trop ça. Mais il y a eu un truc dans l'écriture, dans le ton, dans le style d'Henri Loevenbruck qui a fait que je suis restée et que plus je lisais, plus j'étais hypnotisée par cette bande de potes, par ces parcours de vie et puis surtout par Bohem. Bohem, la figure de proue, le centre du roman, ce jeune homme dont on finit par s'éprendre.
Je me rends compte que je suis encore bouleversée par ce roman, par cette quête de liberté, quoiqu'il arrive, quoiqu'il advienne. Bohem et son MC (Motor Club) avalent du bitume, tracent leur route dans une magnifique ode à la liberté. Bohem et ses potes qui brûlent leur vie par les deux bouts, qui résistent à la pression sociale, qui vivent leur rêve jusqu'au bout. Écrit avec brio, écrit comme si on le vivait, Henri Loevenbruck nous emporte loin, très loin, tellement loin qu'on a envie d'enfourcher une moto et de partir droit devant.
Une histoire bouleversante de jeunesse, de liberté, d'amitié, une histoire qui va vous retourner le coeur, le cerveau, une histoire qui va vous prendre aux tripes, une histoire incroyablement intense.

Logo challenge T&P 2017

Publicité
Publicité
Commentaires
O
Hum il est dans ma PAL depuis un moment je vais le remonter de quelques positions :)
Répondre
Z
Ce n'est pas la 1ère fois que j'entends beaucoup de bien sur ce livre, mais je ne sais pas pourquoi il ne m'attire pas plus que ça. Faut dire aussi qu'à la base, ce n'est pas trop mon genre de prédilection :)
Répondre
L
Une tuerie ce bouquin. Un méga coup de coeur pour moi (et pour beaucoup de blogueurs).
Répondre
C
Il faudrait que je le tente à l'occasion !
Répondre
Revoir un Printemps
Publicité
Publicité